Après notre plongée dans la numérisation des services publics, un constat s’impose : les générations futures ne sauront peut-être jamais comment c’était avant l’IA ! Mais comment réinventer la formation des futurs travailleurs sans perdre notre essence humaine ?
En préambule, je pose 3 postulats.
Postulat 1 : l’intelligence artificielle apporte de nouvelles opportunités pour le travail. Elle améliore les processus et personnalise les services.
Postulat 2 : dans les métiers tertiaires, il fera partie du quotidien, on ne pourra pas s’en passer.
Postulat 3 : la technologie ne doit pas éclipser le contact humain et le savoir-faire spécifique de ces métiers.
Ci-dessous, voici ma réponse concernant la formation, mais avant n’hésitez pas à me donner votre avis sur la question :
1. L’apprentissage des compétences cœur de métier : les processus, les attentes des usagers client et les services fournis. Être en mesure d’identifier les pistes d’amélioration grâce à l’IA.
2. La flexibilité et l’adaptabilité : développer la polyvalence pour s’adapter aux changements technologiques.
3. L’apprentissage continu : la formation ne doit jamais s’arrêter. Il faut former les équipes, en particulier au fonctionnement de l’IA. Tout le monde doit comprendre ce que fait l’IA.
4. L’éthique : les actions doivent toujours en accord avec les valeurs morales.
L’IA est un outil puissant et c’est à l’humain d’apporter la compréhension essentielle.
Pour rappel, « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » Rabelais
#Service#IA#Formation#Compétences
Ce post a été écrit à l’aide de 3 IA :
– Chat GPT pour m’apporter une structure de post à partir de mon prompt.
– Languagetool pour corriger mon orthographe
– HemingwayApp pour améliorer la grammaire et la syntaxe
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